D’abord appelé Phérosynthèse, avant de devenir l’Institut de Recherche en Sémiochimie et Ethologie Appliquée – Phérosynthèse puis finalement L’IRSEA en novembre 2010.
Derrière cette évolution de dénomination, se profile une évolution des engagements de L’IRSEA.
A la recherche fondamentale et appliquée, s’est associée la formation universitaire.
Cette nouvelle implication a d’abord concerné la formation par la recherche pour des étudiants en thèse et master, puis finalement la participation et la mise en place de programmes de formations continues et diplômantes en collaboration avec des universités partenaires.
Pour aboutir à une co-existence harmonieuse et fonctionnelle, l'IRSEA ne travaille jamais à la recherche de solutions coercitives, de méthodes d’éradication, mais au contraire de cohabitation et de partage du monde dont nous disposons.
Dans le souci permanent de l’accomplissement personnel des membres de nos équipes, à travers une organisation très collégiale et avec une volonté de faciliter la réalisation personnelle (par exemple dans le sponsoring de leurs passions sportives ou artistiques) et professionnelle (incitation et facilitation de parcours universitaires).
En accueillant des étudiants du monde entier dans un environnement confortable et économiquement sécurisant (fourniture d’un hébergement, financement des droits d’inscription ou des frais de participation à des congrès en France comme à l’étranger) et en leur apportant une véritable préparation à l’examen, à la soutenance.
Rendre accessibles aux pays et aux populations les outils et méthodes des travaux d'IRSEA à ceux qui en ont besoin mais n'en ont pas forcément les moyens économiques. En effet, nous pensons que nos recherches actuelles et futures sur les sémiochimiques peuvent profiter à tous niveaux, qu’il s’agisse d’entreprises désireuses d’améliorer le bien-être de leurs animaux pour un meilleur rendement, d’un horticulteur cherchant à éliminer naturellement et efficacement les cicadelles de ses plants de lavande ou encore d’un pays sans grande ressources financières et scientifiques cherchant une solution contre les moustiques, porteurs de maladies très grave comme le paludisme.